UVRES
DE MARGUERITE YOURCENAR
 YOURCENAR
(Marguerite) Alexis
ou le Traité du Vain Combat. Paris, Plon, 1952.
In-12 broché, 191 p., édition enrichie d'un
hommage autographe A Monsieur et Madame XXXX / hommage
amical / Marguerite Yourcenar / portrait d'une voix /
30.10.56, exemplaire en très bon état.
La première édition
a été publiée en 1929.
Marguerite Yourcenar préface cette seconde
édition en précisant que « dans l'essentiel,
ce récit a donc été laissé tel qu'il
était [...] »
Préface de la seconde édition :
Ce petit livre a paru pour la première
fois en 1929 : près de vingt-trois ans ont passé,
presque un quart de siècle. Durant cette période,
les idées, les murs, les réactions du public
se sont modifiées, moins d'ailleurs qu'on ne le croit ;
l'auteur lui-même a changé, mais point autant peut-être
qu'il s'imagine l'avoir fait. Ce n'est pas sans une certaine
inquiétude qu'il a rouvert son livre après ce long
intervalle : il s'attendait à devoir apporter à
ce texte un certain nombre de retouches, à faire le point
d'un monde transformé.
Pourtant, à bien y réfléchir,
ces modifications lui ont paru de plus en plus inutiles, sinon
nuisibles : dans l'essentiel, ce récit a donc été
laissé tel qu'il était, et cela pour deux raisons
qui, en apparence, s'opposent.
La première, qui concerne le fond même
de l'ouvrage, est que le drame d'Alexis et de Monique n'a pas
cessé d'être vécu, qu'il garde et gardera
sans doute son intérêt humain tant que le monde
des faits sensuels demeurera d'accès difficile, barré
de préjugés dont les plus dangereux sont peut-être
ceux du langage, hérissé d'obstacles qu'évitent
ou que contournent sans trop de gêne la plupart des êtres,
mais sur lesquels s'enferrent presque immanquablement les esprits
scrupuleux et les curs purs. L'aventure intime d'Alexis
reste aussi actuelle et guère, quoi qu'on en dise, moins
confidentielle qu'autrefois. La seconde raison, bien différente
de la première, est que, si immédiats et si multiples
que puissent être les prolongements et les échos
d'un pareil thème, le récit de l'adolescence et
de la jeunesse d'Alexis n'en demeure pas moins étroitement
enfermé dans le décor d'un temps et d'un milieu,
empreint de l'atmosphère d'une certaine Europe centrale
et française à peine transposée dans le
détail des lieux et des noms. Il eût été
impossible d'y changer quoi que ce soit sans compromettre ce
qu'il est permis d'appeler l'acoustique du livre. Bien plus,
Alexis lui-même, Alexis de Géra, a existé.
Comme dans quelques-uns de ses ouvrages plus récents,
que le lecteur connaît peut-être, l'auteur, alors
tout au début de sa carrière d'écrivain,
s'est essayé ici à faire le portrait d'une voix.
Il fallait laisser à Alexis son français presque
trop fluide d'étranger qui parle avec aisance, mais aussi
avec timidité, une langue à la fois dénuée
et légèrement vieillie ; il ne fallait rien
lui enlever de ses hésitations, de ses réticences,
de ses répétitions, de ses naïvetés
même, de ce lent effort qui consiste à obliger les
mots les plus simples et les plus usés à distiller
peu à peu leur goutte de vérité. On a, certes,
ça et là, effacé quelques maladresses que
lui-même eût corrigées, s'il avait vécu,
ou éliminé dans le récit des faits certains
travestissements légers qui ne s'imposaient plus. Mais,
somme toute, répétons-le, cette voix un peu craintive
ne méritait d'être entendue à nouveau qu'à
condition de ne rien changer à ses aveux ou à son
timbre.
Ajoutons qu'il existe une troisième
et dernière raison pour modifier ce livre le moins possible :
c'est que des remaniements trop nombreux eussent paru un manque
d'égards envers les quelques amis qui n'ont pas cessé
de l'aimer. Rappelons aussi, pour les lecteurs qui auraient oublié
Virgile, que le nom d'Alexis est une allusion à un personnage
des Églogues familier jadis au moindre écolier,
sorti du même fond traditionnel dont Gide a tiré
son Ménalque, son Corydon, et son Amyntas. Enfin, il faut
souligner que ce petit livre, conçu et exécuté
par une jeune femme de vingt-quatre ans, l'a été
tout indépendamment d'autres uvres à peu
près contemporaines qui traitent ce même thème :
on insiste ici sur ce point, non pour séparer Alexis de
ces ouvrages plus ou moins apparentés par la pensée,
ou pour l'opposer à eux, mais bien plutôt pour leur
apporter l'appui d'une confidence non sollicitée et d'un
témoignage authentique. Certains sujets sont dans l'air
d'un temps ; ils sont aussi dans la trame d'une vie.
200 euros (code de commande
: 27454).
Anna Soror... Paris, Gallimard, 1981. In-8° broché,
158 p., exemplaire du tirage courant de l'édition originale.
10 euros (code de commande
: your033).
Archives
du Nord. Le labyrinthe
du monde, II. Paris, Gallimard,
1977. In-8° broché, 376 p., jaquette défraîchie,
exemplaire du tirage courant de l'édition originale.
En quatrième
de couverture :
Dans
le premier volume du diptyque entrepris par l'auteur afin de
raconter ses origines, elle remontait le temps à partir
de sa naissance. Le second volume procède d'une démarche
inverse. À travers une évocation d'abord géologique
et géographique, elle situe les terres, les dunes et les
forêts, vierges encore de toute humanité, qui seront
défrichées au Moyen Âge et deviendront un
jour la Flandre française, berceau de ses ancêtres.
S'appuyant ensuite sur la complexité infinie d'archives
historiques, elle situe les lieux, entre Bailleul et Cassel,
où sa famille naquit au début du XVIe siècle.
L'ouvrage se fait de plus en plus opulent et
précis à mesure qu'il descend vers nous, lecteurs
d'aujourd'hui. Car l'Histoire, ici, devient comparable à
une immense circulation sanguine dont l'écrivain serait
le cur toujours battant. S'abandonner à ce système
romanesque créé par le Temps, c'est découvrir
comme une femme d'aujourd'hui a su pénétrer le
secret des siècles refermés sur eux-mêmes
pour en réveiller les destins singuliers, avec leurs passions,
leurs amours, leur noblesse.
10 euros (code de commande
: your001*).
Conte bleu. Le premier soir. Maléfice.
Préface de Josyane
Savigneau. Paris, Gallimard, 1993. In-8° broché,
87 p., exemplaire du tirage courant de l'édition originale
de ces trois contes inédits publiés post-mortem,
peu courant.
9 euros (code de commande
: your034 - vendu).
La Couronne et la Lyre. Poèmes traduits du grec. Paris, Gallimard,
1979. In-8° broché, 481 p., , jaquette un pe jaunie,
exemplaire du tirage courant de l'édition originale.
En quatrième
de couverture :
Les
traductions de poèmes grecs anciens qu'on va lire ont
été composées en grande partie pour mon
plaisir, au sens le plus strict du mot, c'est-à-dire sans
aucun souci de publication. Il en est de même des notices,
brèves ou longues, qui les précèdent, et
ont été d'abord des informations assemblées
ou des évaluations tentées pour moi seule. En traduisant
ces poèmes, ou fragments de poèmes, ma démarche
ne différait en rien de celle des peintres d'autrefois,
dessinant d'après l'antique ou brossant une esquisse d'après
des peintures de maîtres antérieurs à eux,
pour mieux se pénétrer des secrets de leur art,
ou encore de celle du compositeur retravaillant de temps à
autre un passage de Bach ou de Mozart pour en jouir et s'enrichir
de lui.
Le choix qui suit s'ouvre sur l'aubade merveilleuse
(dans l'original s'entend) des poètes ioniens du VIIe
et du VIe siècle, bruyant et harmonieux chant d'oiseau.
Il s'achève sur quelques poètes de l'époque
de Justinien. Doutant de mes forces, au lieu d'essayer de traduire
assez d'Homère et d'Hésiode pour donner au moins
une idée de leurs uvres, j'ai préféré
n'en offrir, en guise de prélude, que quelques phrases
isolées, enrichies, comme d'une précieuse patine,
de l'émotion et du respect avec lesquels elles ont été
redites au cours des siècles suivants, espèces
de leitmotive de la sensibilité grecque jusqu'à
la fin du monde antique. En guise d'épilogue, j'ai mis
de même, à la fin du livre, deux douzaines environ
d'épigrammes chrétiennes s'échelonnant du
VIe siècle au Xe de notre ère. Entre le prélude
et l'épilogue, douze siècles plus ou moins, qui
vont à peu près de la construction du premier Parthénon
archaïque à l'érection de Sainte-Sophie, quelque
trente-six générations bougeantes et changeantes,
mais durant lesquelles s'établit tant bien que mal un
équilibre instable entre le chant et la poésie
écrite, entre la nature et la cité, la foi aux
dieux et le scepticisme, entre le goût passionné
de la vie et l'interrogation amère sur la vie.
10 euros (code de commande
: 27590 - vendu).
Souvenirs pieux.
Le labyrinthe du monde, I. Paris, Gallimard, 1974. In-8° broché,
302 p., jaquette, exemplaire du tirage courant de l'édition
originale.
Sur la jaquette :
Le
livre de Marguerite Yourcenar commence par le récit d'une
naissance : la sienne. De ce point de départ elle
s'interroge. D'où vient-elle ? Qui fut sa mère,
morte presque aussitôt ? Qui fut son père ?
Ces deux familles dont elle est issue, que peut-elle en savoir,
à travers les épaisseurs du temps ? Les souvenirs
qui se transmettent de vive voix, les portraits et les albums
de photos, les documents d'état civil et les archives
de notaires, les mémoires et les lettres, les coffrets
retrouvés dans les greniers, les pèlerinages aux
lieux d'avant sa vie, mais où vécurent les siens,
tout cela pourrait être vague ou banal ; Marguerite
Yourcenar le trie, l'ordonne, l'interprète, le rassemble
en un tableau singulier et saisissant. Toute la famille de sa
mère, tous ces petits aristocrates terriens du Hainaut,
« gens de lignage », serviteurs des princes-évêques
de Liège, châtelains entre Sambre et Meuse, actionnaires
de charbonnages, les voici du lointain XIVe siècle arrivés
jusqu'à cette jolie Fernande qui n'était pas mariée
à vingt-huit ans, et vivait à Bruxelles chez une
sur infirme. Voici maintenant le charmant Michel ;
lui n'était plus jeune quarante-six ans
il était veuf, il avait une mère tyrannique et
riche, un fils de quinze ans, et il était Français.
Tous deux se rencontrent on les fait se rencontrer
sur une plage de la mer du Nord, chez une vieille dame un peu
marieuse. Fernande accepte de son prétendant qui ne lui
déplaît pas une étrange proposition, du moins
pour l'époque : un voyage de fiançailles en
Allemagne, sous le chaperonnage de la digne Fraulein qui l'avait
élevée, elle et ses sept frères et surs.
Le voyage réussit, puisque Fernande et Michel se marient
au retour. Ils furent peut-être heureux, et peut-être
non : Fernande mourante souhaitait que sa petite fille échappe
au monde, et entre au couvent.
7,50 euros (code de commande
: your011*).
YOURCENAR (Marguerite)
La Voix des choses. La voix des choses. Textes
recueillis par Marguerite Yourcenar. Photographies de
Jerry Wilson. Paris, Gallimard, 1987. In-8° broché,
101 p., photographies contrecollées en couleurs, exemplaire
du tirage courant de l'édition originale, bel exemplaire.
Avant-propos :
Le 3 octobre ou le 4, me trouvant à
l'hôpital de Bangor, dans le Maine, où j'étais
hospitalisée depuis deux jours, et ayant subi ce matin-là
un angiogramme, Jerry Wilson, arrivé de Paris deux ou
trois jours plus tôt pour me soigner, et lui-même
malade, me mit entre les mains l'admirable plaque de malachite
que j'avais marchandée à plusieurs reprises, en
1983 et 1985 à New Delhi, pour la lui offrir, et finalement
donnée le 22 mars précédent, pour son anniversaire,
quand il était lui-même hospitalisé dans
le Maine. Elle ne l'avait pas quitté depuis. Mais sans
doute mes mains étaient faibles, ou moi-même un
peu assoupie, car j'ai senti glisser quelque chose, un bruit
léger, fatal, irréparable, me réveilla de
mon sommeil. J'étais bouleversée d'avoir ainsi
détruit à jamais cet objet qui avait tant compté
pour nous, cette plaque de minéral au dessin parfait à
peu près aussi antique que la terre. De quel dépôt
cent fois millénaire était-elle venue pour nous
attendre deux ans chez un bijoutier hindou, puis pour passer
et repasser deux fois l'Atlantique, aux mains d'un ami qui n'avait
peut-être plus longtemps à vivre ? De quel
Himalaya, de quel Pamir ? Mais le son même de sa fin
avait été beau... « Oui, me dit-il,
la voix des choses. » J'aurais voulu retourner en
Inde pour lui retrouver une autre plaque aussi belle que celle-là.
Mais j'ai décidé d'appeler La Voix des choses
ce petit livre où rien à peu près
n'est de moi, sauf quelques traductions mais qui
m'a servi de livre de chevet et de livre de voyage pendant tant
d'années et parfois de provision de courage.
30 euros (code de commande
: 27267 - vendu).
MISHIMA].
Mishima ou la vision du vide. Paris, Gallimard, 1981
In-8° broché, 124 p., bon exemplaire.
En quatrième
de couverture :
Le
24 novembre 1970, Mishima prépare avec un soin minutieux
sa mort. Il est âgé de quarante-cinq ans. Son uvre
est ample. Il connaît la gloire mondiale. Il veut que son
suicide obéisse en tous points aux rigueurs du rite exigé
depuis des siècles par la tradition de son pays, le milieu
dans lequel il a choisi de vivre religieusement, socialement,
littérairement, politiquement : il s'ouvre le ventre
avant de se faire décapiter par la main d'un ami. Mort
à la fois terrible et exemplaire parce qu'elle est en
quelque sorte le moyen de rejoindre en profondeur le vide
métaphysique dont le romancier-poète japonais subit
la fascination depuis sa jeunesse.
Marguerite Yourcenar met toute l'acuité
de son intelligence au service d'une telle aventure humaine dont
elle pressent à la fois la proximité et l'étrangeté.
Son analyse s'articule sur quelques moments de la vie et de l'uvre :
l'arrière-plan de la vie et Confession d'un Masque ;
les premiers livres qui suivent ; La Mer de la Fertilité ;
les années de désarroi amenant Mishima à
« reforger » son corps ; l'arrière-plan
politique, l'action et l'obsession du seppuku ; la
mort.
Ainsi, dans un modèle d'étude
critique, un grand écrivain d'Occident démonte
les mécanismes de la psychologie d'un grand écrivain
d'Orient, mettant au jour les ambitions, les triomphes, les faiblesses,
les désastres intérieurs et finalement le courage.
10 euros (code de commande
: your009).
À PROPOS
DE MARGUERITE YOURCENAR
Les
yeux ouverts. Entretiens avec Matthieu Galley. Paris,
Éditions du Centurion, 1980. In-8° broché,
336 p., illustrations hors texte, (collection «
Les Interviews »).
Sur le rabat de la couverture
:
Admirée d'un vaste public depuis la
parution de Mémoires d'Hadrien, en 1951, Marguerite
Yourcenar est aujourd'hui la plus célèbre des romancières
françaises, ainsi que l'unique « académicienne »
de notre histoire. En dépit de cette gloire officielle,
qui peut se vanter de la connaître ? Même quand
ils sont consacrés à sa famille, comme Souvenirs
pieux ou Archives du Nord, elle n'apparaît jamais
en personne dans ses ouvrages ; ni son caractère,
ni sa morale ne l'incitent aux confidences, et encore moins au
culte du moi, cher à tant d'écrivains. Pour la
première fois, l'auteur de L'uvre au noir nous
donne ici le livre-clé qu'on attendait pour la comprendre
au plus profond et au plus clair de sa pensée. Sans réticence,
avec la simplicité d'une âme sereine, intéressée
par tous les aspects du monde où nous sommes, elle le
contemple « les yeux ouverts », et nous
dit ce qu'elle croit, ce qu'elle voit, ce qu'elle a vécu.
De son enfance flamande, avant la guerre de
1914, auprès d'un père d'exception, jusqu'à
sa présente retraite dans l'île de Mont-Désert,
sur la côte est des États-Unis, c'est tout l'itinéraire
d'une existence voyageuse et mouvementée qui se dessine,
à travers la genèse d'une uvre et les hasards
d'une vie. Indissociables l'une de l'autre, elles finissent par
former la trame d'un portrait beaucoup plus profond qu'une banale
autobiographie. Même au cur du quotidien, puisqu'elle
fait aussi bien son pain que des romans, Marguerite Yourcenar
a le don d'élever toujours le débat, replaçant
les êtres, les événements, les circonstances
dans une perspective à la mesure de l'Homme.
En prise directe sur les grands courants de
l'histoire et des idées, sans jamais négliger la
nature ni les humbles tâches de chaque jour, sa vie apparaît
comme le reflet intelligent de notre époque. Aucune des
questions essentielles qu'elle nous pose ne lui sont étrangères,
et si l'on a tendance à imaginer les écrivains
retranchés dans leur fameuse tour d'ivoire, on sera surpris
de découvrir, grâce à l'attentive complicité
de Matthieu Galey, une femme qui ressent, qui regarde, qui agit,
autant qu'elle juge ou réfléchit, et qui se révèle
sans doute, dans cette sagesse conquise, exemplaire, une de nos
contemporaines capitales.
13 euros (code de commande
: your013).
BLOT
(Jean) Marguerite Yourcenar.
Paris, Seghers, 1980. In-8° broché, 179 p.
En quatrième
de couverture :
De
quoi parle Marguerite Yourcenar
À peine posée la question, le
vertige nous saisit.
Elle a traduit et commenté Cavafy, mais
elle en a fait autant pour Henry James (Ce que savait Maisie)
situé à l'autre bout du monde et sur un horizon
esthétique diamétralement opposé. Quel rapport
établir entre les Negro Spirituals et Virginia
Woolf auxquels elle prêta également son talent de
traductrice ? Pourquoi Piranèse ? Par quelle
voie les Prisons imaginaires de celui-ci communiquent-elles
avec les chants des Noirs américains, ceux-ci avec la
prose la plus savante de l'Amérique ou avec le style le
plus sensible de l'Angleterre moderne ? Quel chemin conduit
de la Grèce de Pindare et de La Couronne et la Lyre
aux Flandres de Souvenirs pieux ou d'Archives du Nord ?
La trajectoire de l'auteur des Mémoires d'Hadrien
et du Coup de Grâce est l'une des plus impressionnantes
de la littérature française d'aujourd'hui. Romancier
et essayiste, Jean Blot nous en dévoile les arcanes.
10 euros (code de commande
: your014). |